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Accueil À la une

Neurologie : des médicaments à écarter pour mieux soigner en 2025.

santeinfo by santeinfo
19 mai 2025
in À la une, Actualités, Médicaments, Santé, Santé humaine
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Neurologie :  des médicaments à écarter pour mieux soigner en 2025.
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Pour aider à choisir des soins de qualité et éviter des dommages disproportionnés pour les patientes et les patients, nous avons mis à jour fin 2024 le bilan des médicaments plus dangereux qu’utiles que Prescrire conseille d’écarter pour mieux soigner.

Pour la treizième  année consécutive, Prescrire  publie le bilan des médicaments à écarter pour mieux soigner. Ce bilan recense de manière documentée des médicaments plus dangereux  qu’utiles, avec pour objectif d’aider à choisir des soins de qualité, de ne pas nuire aux patients et d’éviter des dommages disproportionnés. Il s’agit de médicaments (parfois seulement une forme ou un dosage particulier) à écarter des soins dans toutes les situations cliniques dans lesquelles ils sont autorisés en France ou dans l’Union européenne.

Selon Prescrire, tous les médicaments ne se valent pas. Dans  certaines situations, des médicaments sont utiles : ils apportent un progrès thérapeutique par rapport  à d’autres options. En revanche, d’autres sont plus dangereux qu’utiles et sont à écarter de la panoplie thérapeutique.

Prescrire est une revue indépendante qui diffuse depuis les années 1980 des informations sur les médicaments en s’appuyant sur le travail collaboratif de médecins, de pharmaciens et de spécialistes du médicament. Elle est réputée pour son indépendance vis-à-vis des lobbies pharmaceutiques, mais aussi du ministère de la santé, de l’assurance maladie ou des agences du médicament. Elle dénonce régulièrement des traitements sans effet voire dangereux, ou dont la balance bénéfices/risques est défavorable.

Elle publie depuis février 2013 une liste de « médicaments à écarter », médicaments dont les avantages thérapeutiques ne compensent pas les risques qu’ils représentent.

Fin 2024, parmi les médicaments autorisés en France ou dans l’Union européenne qui ont été analysés par Prescrire entre 2010 et 2024, 106 médicaments sont plus dangereux qu’utiles dans toutes les indications figurant dans leur AMM, dont 88 sont commercialisés en France.

Nous présentons ci-après ces 106 médicaments par domaine thérapeutique, et, dans chaque domaine, par ordre alphabétique des dénominations communes internationales (DCI).

Il s’agit :

de médicaments avec une efficacité démontrée, mais qui, compte tenu de la situation clinique, exposent à des risques disproportionnés par rapport aux bénéfices qu’ils apportent ;

de médicaments anciens dont l’utilisation est dépassée, car d’autres médicaments plus récents ont une balance bénéfices-risques plus favorable ;

de médicaments récents, dont la balance bénéfices-risques s’avère moins favorable que celle de médicaments plus anciens ;

de médicaments dont l’efficacité n’est pas prouvée au-delà de celle d’un placebo, et qui exposent à des effets indésirables particulièrement graves.

Les principales raisons qui font qu’une balance bénéfices-risques est défavorable sont expliquées au cas par cas. Quand de meilleures options existent, Prescrire les expose brièvement. Parfois, il s’agit d’une situation clinique, grave ou non, pour laquelle aucun autre traitement avec une balance bénéfices-risques favorable n’est connu, et il le mentionne aussi.

Santéinfo.org, votre site d’information spécialisé dans le domaine de la santé, dans une série de publications, se fait le devoir de reprendre chaque semaine, le bilan mis à jour en fin 2024 des médicaments que  Prescrire conseille d’écarter en 2025 pour mieux soigner les patients. Il s’agit des médicaments  par domaine thérapeutique, et, dans chaque domaine, par ordre alphabétique des dénominations communes internationales (DCI).

Cette semaine, nous vous présentons les médicaments dans le domaine thérapeutique Neurologie .

Neurologie

Maladie d’Alzheimer

Les médicaments de la maladie d’Alzheimer autorisés fin 2024 ont une efficacité minime et transitoire. Ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels et à de nombreuses interactions. Aucun de ces médicaments n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance. Or ils sont utilisés en traitement prolongé et impliqués dans des interactions dangereuses. L’important est de se concentrer sur l’aide à l’organisation du quotidien, le maintien d’activité, l’accompagnement et l’aide de l’entourage. En France, chez les patients qui étaient exposés couramment à au moins un de ces médicaments, il n’y a pas eu plus d’actes de soins, ni plus de patients exposés à un psychotrope après l’arrêt de leur remboursement par la Sécurité sociale.

  • Le donépézil (Aricept° ou autre), la galantamine (Reminyl° ou autre), la rivastigmine (Exelon° ou autre), des anticholinestérasiques, exposent à : des troubles digestifs (dont des vomissements parfois graves) ; des troubles neuropsychiques (dont dépressions et insomnies) ; des anorexies ; des troubles cardiaques, dont des troubles du rythme et de la conduction des bradycardies, des malaises et des syncopes. Le donépézil expose aussi à des troubles sexuels compulsifs.
  • La mémantine (Ebixa° ou autre), un antagoniste des récepteurs NMDA du glutamate, expose à : des troubles neuropsychiques tels qu’hallucinations, confusions, sensations vertigineuses ou céphalées, conduisant parfois à des comportements violents, des convulsions, des troubles d’allure psychotique ; des insuffisances cardiaques, des bradyarythmies.

Sclérose en plaques

Le traitement « de fond » de référence de la sclérose en plaques est un interféron bêta (Avonex°, Rebif°, Betaferon°), malgré ses limites et ses nombreux effets indésirables. La balance bénéfices-risques des autres traitements « de fond » n’est pas plus favorable, voire nettement défavorable. C’est notamment le cas pour trois immunodépresseurs qui exposent à des risques disproportionnés et qui sont à écarter.

  • L’alemtuzumab (Lemtrada° – non commercialisé en France), un anticorps monoclonal antilymphocytaire, a une efficacité clinique incertaine, sans progrès démontré par rapport à l’interféron bêta-1a. Il expose à de nombreux effets indésirables graves, parfois mortels, notamment : réactions liées à la perfusion (dont fibrillations auriculaires et hypotensions), infections, troubles auto-immuns fréquents (dont troubles thyroïdiens, purpuras thrombopéniques, cytopénies, néphropathies, hépatites) ; infarctus du myocarde ; hémorragies pulmonaires, accidents vasculaires cérébraux et dissections artérielles cervicocéphaliques.
  • Le natalizumab (Tysabri° ou autre), un anticorps monoclonal immunodépresseur, expose à des infections opportunistes graves, parfois mortelles, dont des leucoencéphalopathies multifocales progressives, des réactions d’hypersensibilité parfois graves, des atteintes hépatiques.
  • Le tériflunomide (Aubagio° ou autre), un immunodépresseur, a une efficacité clinique incertaine, sans progrès démontré par rapport à l’interféron bêta-1a. Il expose à des effets indésirables graves, parfois mortels, dont : atteintes hépatiques, leucopénies et infections ; ainsi qu’à des neuropathies périphériques.

Divers

Des médicaments utilisés notamment dans des formes graves d’épilepsie, la migraine, les troubles cognitifs, les vertiges, la claudication intermittente ischémique et la maladie de Parkinson sont à écarter.

  • La fenfluramine (Fintepla°), un amphétaminique, est autorisé en ajout à un traitement antiépileptique dans le syndrome de Dravet et dans le syndrome de Lennox-Gastaut, des formes rares et graves d’épilepsie infantile. Malgré une diminution de la fréquence globale des crises convulsives, la fenfluramine semble augmenter la fréquence des états de mal convulsif La fenfluramine expose à des valvulopathies et des hypertensions artérielles pulmonaires qui ont conduit à arrêter son utilisation comme anorexigène. Elle expose aussi à des troubles neuropsychiques et à d’autres troubles cardiovasculaires.
  • La flunarizine (non commercialisée en France) et l’oxétorone (Nocertone°), des neuroleptiques utilisés en prévention des crises de migraine, ont une efficacité au mieux modeste (environ une crise en moins tous les deux mois), et exposent à des troubles extrapyramidaux, des troubles cardiaques et des prises de poids. L’oxétorone expose aussi à des diarrhées chroniques. D’autres options telles que le propranolol (Propranolol Teva° ou autre) sont à préférer.
  • Le Ginkgo biloba, utilisé dans les troubles cognitifs des patients âgés (Tanakan° ou autre), n’a pas d’efficacité démontrée au-delà de celle d’un placebo, mais expose les patients à des hémorragies, des troubles digestifs ou cutanés, des convulsions, des réactions d’hypersensibilité, et peut-être des troubles du rythme cardiaque. Le Ginkgo biloba est aussi utilisé en association à doses fixes avec l’heptaminol et la troxérutine (Ginkor fort°) dans l’insuffisance veineuse, sans plus d’efficacité. On ne connaît pas de médicament avec une balance bénéfices-risques favorable dans ces situations.
  • Le naftidrofuryl (Naftilux°), un « vasodilatateur » autorisé dans la claudication intermittente ischémique liée à une artériopathie des membres inférieurs, allonge le périmètre de marche de quelques dizaines de mètres mais expose à des céphalées, des œsophagites, des ulcérations buccales, des troubles cutanés, des lithiases rénales et des atteintes hépatiques parfois graves. En France, il n’est plus remboursable par la Sécurité sociale depuis fin 2021. Un programme d’entraînement à la marche est un traitement efficace et moins risqué.
  • Le piracétam (Nootropyl° ou autre), un « psychostimulant », est autorisé dans diverses situations cliniques dont les vertiges, les déficits cognitifs et neurosensoriels des personnes âgées, la dyslexie chez les enfants, et les myoclonies d’origine corticale. Dans ces situations, le piracétam n’a pas d’efficacité clinique établie, mais il expose à des hémorragies, des nervosités, des agitations, des prises de poids (n° 294 p. . Dans les vertiges, les déficits cognitifs et neurosensoriels et la dyslexie, on ne connaît pas de médicament avec une balance bénéfices-risques favorable. Dans les myoclonies d’origine corticale, l’acide valproïque (Dépakine° ou autre), et le clonazépam (Rivotril°), deux antiépileptiques, sont des options.
  • La tolcapone (Tasmar°), un antiparkinsonien inhibiteur de la COMT, expose à des atteintes hépatiques parfois mortelles. Quand les autres options thérapeutiques sont épuisées, l’entacapone (Comtan° ou autre) est une meilleure option.

Source: Prescrire

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